Les études scientifiques de 2021 et 2022 synthétisées par le GIEC sont sans équivoque. Le groupement d’experts a publié fin mars les conclusions de son rapport et lancé un nouvel appel aux États pour limiter le réchauffement climatique. Un énième appel de ce type qui a fait réagir l’ONG WWF : « Après une année marquée par un manque d'ambition à l'échelle mondiale, ce bilan scientifique rappelle qu'on ne peut pas aller contre la réalité de la nature et du climat. Le WWF appelle les gouvernements à briser en 2023 le tabou de la sortie des énergies fossiles et à débuter sans attendre le chantier de protection et de restauration de la biodiversité lancé par l'accord mondial adopté à Montréal ».
Le réchauffement climatique a commencé avec une estimation de hausse de 1,1°C et un phénomène engagé de montée des eaux. « Aujourd'hui, le GIEC estime que près de la moitié de l'humanité (entre 3,3 et 3,6 milliards de personnes) vit dans un environnement hautement vulnérable au changement climatique. La responsabilité des activités humaines ne fait plus de doutes, tant pour la hausse des températures que pour les vagues de chaleur extrêmes observées ces 10 dernières années, qui auraient été "extrêmement improbables" sans l'influence de l'homme sur le climat », ajoute le communiqué.
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