Depuis trop longtemps, les questionnaires d’auto-évaluation (SAQ) peinent à répondre aux besoins réels des acheteurs comme des fournisseurs. Pour les premiers, ces outils génèrent des données souvent peu fiables, masquent des risques importants et manquent de capacité pour accompagner la croissance des chaînes d’approvisionnement. Pour les seconds, ils représentent une source de redondance, d’exigences floues, et offrent peu de valeur concrète en retour. Le résultat ? Des coûts élevés pour un impact limité, et une exposition grandissante face aux risques.
Aujourd’hui, dans un contexte marqué par une instabilité géopolitique forte et des tensions commerciales accrues, les chaînes d’approvisionnement sont plus vulnérables que jamais. La pression des marchés, des clients et des régulateurs pour renforcer leur résilience est devenue une nécessité incontournable.
Pour protéger leur image, éviter les ruptures majeures et répondre aux attentes de plus en plus exigeantes des parties prenantes, les entreprises doivent se tourner vers des solutions ESG tierces, intelligentes et évolutives. Ces outils offrent les fonctionnalités indispensables pour bâtir une résilience durable face à un environnement de risques en perpétuelle transformation.
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