Selon une nouvelle étude, les machines aspirant directement du CO2 dans l’air pourraient réduire le coût de la réalisation des objectifs climatiques mondiaux, mais elles auraient besoin d’un quart de l’approvisionnement énergétique mondial en 2100.
La recherche, publiée fin juillet dans Nature Communications, est la première à explorer l’utilisation de la capture directe d’air (DAC) dans plusieurs modèles informatiques. Il en ressort qu’un déploiement « massif » de la technologie pourrait réduire le coût de la limitation du réchauffement à 1,5 ou 2 ° C par rapport aux niveaux préindustriels.
A propos de l'auteur
Suivez-nous/ Suivre sur Twitter Suivez-nous/ Suivre sur LinkedIn Visiter le site web Plus de contenu par FR EcoVadis FR