Cette participation minoritaire est pour EcoVadis le premier apport extérieur en capital depuis son lancement en 2007. Elle permettra d’accélérer l’adoption à l’international de son système de notation des fournisseurs en matière de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), de renforcer plus encore la pertinence et la valeur des évaluations, et de continuer à investir dans les nouvelles technologies via ses efforts internes en R&D mais aussi à travers des partenariats avec des start-ups et organisations innovantes.
Le monde médiatique s’est empressé d’annoncer la nouvelle, ci-dessous quelques extraits:
Créée en 2007, Ecovadis n’est plus à proprement parler une start-up mais vient de réussir brillamment sa première levée de fonds. Elle a levé 30 millions d’euros pour son premier financement institutionnel auprès du fonds de capital-croissance de Partech Ventures. « Les clients, les citoyens et les investisseurs exigent désormais des entreprises des comportements exemplaires en matière de développement durable » déclare Omri Benayoun, associé chez Partech Ventures, qui avait créé un fonds de croissance doté de 200 millions d’euros en 2015.
Ecovadis n’est pas la société la plus connue de la French Tech. Elle vient pourtant de lever 30 millions d’euros, pour… son premier tour de table d’envergure – elle avait obtenu un premier financement d’amorçage, il y a neuf ans lors de sa création, et contracté un peu de dette. C’est Partech Ventures qui a apporté les fonds, via son fonds de capital-développement Partech Growth, dont c’est le sixième investissement en près de deux ans (après les américains RockYou et FreedomPop, les britanniques Made.com et Brandwatch et le finlandais M-Files), et le premier en France.
Pour son premier tour de table, la pépite française EcoVadis frappe fort : la plateforme d’automatisation de la notation de la RSE des entreprises lève 30 millions d’euros auprès du fonds Partech Ventures. EcoVadis ne fait décidément rien comme les autres.
- Business Insider France: Partech Ventures déniche une startup française dans un secteur négligé par les investisseurs — sa technologie concerne des millions de sociétés
Installé à Paris, San Francisco et Berlin, le fonds de capital-croissance Partech Growth vient de réaliser son tout premier investissement en France. Il a engagé seul 30 millions d’euros dans EcoVadis. La problématique de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) a longtemps été désertée par les investisseurs, faute de réelles opportunités d’affaires.
Mais, face à une concurrence limitée, Partech Growth a misé sur la conquête rapide d’un marché de plusieurs millions d’utilisateurs professionnels potentiels pour entrer au capital d’EcoVadis.
- Next Finance: EcoVadis lève 30 millions d’euros pour asseoir son leadership dans l’évaluation sociale et environnementale des fournisseurs
Cette participation minoritaire est pour EcoVadis le premier apport extérieur en capital depuis son lancement en 2007. Elle permettra d’accélérer l’adoption à l’international de son système de notation des fournisseurs en matière de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), de renforcer plus encore la pertinence et la valeur des évaluations, et de continuer à investir dans les nouvelles technologies via ses efforts internes en R&D mais aussi à travers des partenariats avec des start-ups et organisations innovantes.
- Yahoo: EcoVadis, la startup qui note la RSE des entreprises, lève 30 millions d’euros
EcoVadis ne fait décidément rien comme les autres. Créée en 2007, la startup parisienne a attendu près de dix ans pour effectuer sa première levée de fonds de Série A (après un petit financement d’amorçage au moment de sa création). Mais le montant valait l’attente : alors que d’ordinaire, le premier tour de table d’une startup française se situe entre 1,5 et 3 millions d’euros, EcoVadis lève dix fois plus : 30 millions d’euros, auprès du fonds Partech Ventures.
La start-up EcoVadis, éditrice d’un logiciel spécialisé pour l’évaluation environnementale de l’entreprise, vient de boucler un premier tour de table de 30 millions d’euros. L’opération a été réalisée auprès du fonds de capital-croissance de Partech Ventures.
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