L’évaluation des partenaires commerciaux fait partie des pratiques les plus répandues dans la gestion élargie des risques éthiques, sociaux et environnementaux. Mais de quelle “évaluation” parle-t-on exactement ?
Pour vérifier les pratiques éthiques et mesurer les performances sociales et environnementales de partenaires commerciaux, la collecte des données peut être opérée soit par un questionnaire déclaratif réalisé le plus souvent en interne (SAQ), soit en faisant appel à un tiers indépendant et spécialisé, comme EcoVadis, et choisissent une évaluation fondée sur des preuves et non du déclaratif.
La législation en matière de diligence raisonnable devenant plus stricte et s'étendant à toutes les régions du monde et à toutes les catégories, de nombreux acheteurs voient les limites du “fait maison” et de la collecte de données auto-déclarées. En Europe, les lois nationales sur le devoir de vigilance, telles que la loi française, la loi allemande et la récente loi norvégienne seront renforcées par la proposition de directive de l'UE, qui obligera les entreprises concernées à démontrer de manière tangible qu'elles prennent en compte les droits de l'homme et les questions environnementales au sein de leurs chaînes d'approvisionnement, au delà du rang 1. Les pays d'autres régions leur emboîtent le pas : les États-Unis et le Canada ont pris des mesures en faveur d'une diligence raisonnable obligatoire et le Japon se prépare à rédiger une réglementation sur la diligence raisonnable en matière de droits de l'homme plus tard dans l'année.
Dans ce livre blanc, nous comparons les questionnaires d'auto-évaluation des fournisseurs - qu'ils soient internes ou externes - avec la solution EcoVadis, plateforme mondiale d’évaluation et de mutualisation des performances RSE.
A télécharger ou consulter en ligne !
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